mercredi 11 avril 2012

NE JAMAIS TIRER SUR L'AMBULANCE

Patrick Bacot quittera quelques unes de ses multiples casquettes. Une veste sans doûte pour celui qui se permit de dénier publiquement et par presse interposée, toute légitimité aux élus de Sens qui créaient une école de musique et théâtre en régie municipale.
Personnage sans contrôle hiérarchique ni de son sur-moi, qui déja à l'époque avait conduit le centre de gestion départemental dans le trou (financier mais pas seulement) et exigeait que nous passions sous ses fourches caudines en dilapidant encore l'argent public, si cela était possible.
Notre équipe municipale ayant refusé d'entonner l'air du discours de la servitude volontaire, nombreux furent ceux qui critiquèrent notre choix, à l'unisson de Patrick Bacot, sans rien connaitre ni savoir. Ils se reconnaitront comme ils reconnaitront a posteriori la justesse de notre choix.

http://www.lyonne.fr/yonne/actualite/pays/auxerrois/2012/04/10/patrick-bacot-sur-le-depart-1140262.html

lundi 2 avril 2012

QUI AVAIT INTERET A FAIRE PARLER DE MOI DANS LE FIGARO ?

Mon second document de campagne a commencé à être distribué -assez massivement il faut le dire- jeudi 29 mars 2012. Bon et même très bon document puisqu'il est commenté dans l'édition du 30 mars du Figaro, en très bonne place dans le dossier "présidentielles".
L'auteur de cet article réalise au passage un pamphlet au vitriol contre ma candidature aux législatives : oeuvre de commande évidente sans contradiction possible.
Mais il souligne que François Hollande m'a "claqué la bise" au meeting du Bourget "devant des millions de téléspectateurs" et prouve que mes arguments de campagne présidentielle et législative portent jusqu'à Paris !
Je remercie celui ou celle qui a indirectement conduit la presse nationale à rendre compte de mon combat politique.
J'arrive.