lundi 24 octobre 2011

LE REVE FRANCAIS

Il m'a toujours semblé que la France pouvait être considérée à la manière de la Californie au sein des États-Unis d'Amérique. La mythique côte Ouest de l'Europe pour l'une et des États-Unis pour l'autre. Mais le rêve européen s'est perdu dans l'onirisme de l'économie pure et sa cauchemardesque absence de régulation politique.
Le « rêve français » , ce concept porté par François Hollande mais aussi Martine Aubry, Arnaud Montebourg et les autres, veut symboliser pour nous autres français, une nouvelle confiance en nous-mêmes pour affronter l'histoire du monde. Dans un cadre national républicain redevenu bienveillant pour tout un chacun et une réelle ambition pour notre jeunesse. Et tendre toujours vers ces objectifs encore si lointains de liberté, d'égalité, de fraternité… Et de solidarité.
Incontestablement, François Hollande prend de l'épaisseur au fur et à mesure qu'il avance dans cette campagne qui sera brève au regard des années de régression droitière de notre république.
Nul doute que si les Français le décidaient ainsi, le succès électoral de François Hollande serait moindre que les 62 % des suffrages évoqués aujourd'hui. Il va donc nous falloir conjuguer l'inévitable décrue sondagière et amplifier l'incontestable dynamique créée derrière le candidat socialiste et radical.
Pour qu'il y ait alternative à Nicolas Sarkozy.
J'ai eu l'honneur d'assister à l'investiture d'un homme, François Hollande, pour lequel tant d'adversaires fourbissent déjà leurs armes quand il ne s'agira pas de dague ou de fiole de poison. J'aurai l'honneur, dans l'Yonne ou à Paris, de l'aider à parer les coups, pour que le rêve devienne français

1 commentaire:

  1. Le rêve français est surement autre qu'un rêve d'argent. Il doit bien y avoir autre chose qu'une politique capitaliste qui laisse des milliers de laissés pour contre. Je ne peux pas comprendre qu'à notre époque certain se contente de vivre aisément dans le luxe sans ce soucier des travailleurs pauvres de leur propre pays qui sont SDF ou de tout ceux sur terre qui n'ont rien à manger ou à boire. La "crise" a bon dot; on nous la sort à toute les occasions pour justifier l’austérité.

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